Après deux grands billets consacrés à Rédemption de César Franck, il est temps de nous détendre un peu. Pour ce week-end, voici une image que je ne peux probablement pas utiliser car elle est soumise aux droits d’auteur. Pourtant, je ne résiste pas à vous la montrer et son côté iconoclaste me fait sourire (et j’espère qu’on ne m’obligera pas à la retirer. Finalement, on fait ainsi une publicité bien méritée…). Philippe Geluck que vous connaissez probablement pour son terrible « Chat » possède un humour à toute épreuve. Son humour belge n’amuse d’ailleurs pas que les belges et c’est très bien ainsi. La dérision, le jeu de mot un peu gros, le surréalisme typique de nos contrées fait école un peu partout dans le monde. Rire, c’est aussi rire de soi-même et pour cela, les belges sont très forts. Alors, comble pour le musicien vénérant les fameux quatuors de Beethoven, cette image est un bien beau clin d’œil à tous les mélomanes. Quand le « pied de la lettre » est poussé à son extrémité, nous rions et c’est, bien sûr, cela aussi qui nous fait vivre.